LA PILULE DU LENDEMAIN `

 

Un autre centre du thème de la sexualité est la pilule du lendemain (« the
morning atter pill »). L'idée est qu'une femme l'utilise pour se protéger contre la
grossesse après avoir été violée. La pilule a une bonne efficacité et après l'avoir reçue, la fille doit contacter un centre de planning familial. Les producteurs de la pilule insistent que la drogue n'est pas un méd icament de comfort. Mais, beaucoup de genspensent que la
pilule encourage les jeunes à avoir des relations sexuelles. Si la fille n'a pluspeur
d'être enceinte, la pilule va devenir une sorte d'IVG (interruption volontaire de grossesse )
Pour cinq million d'élèves français, c'est possible maintenant de se procurer la pilule
du lendemain à l'école ( les infirmières scolaires) s'ils sont « en situation de détresse
ou d'extrême urgence ». Avant que les écoles puissent distribuer la drogue, les
administrations des école s doivent fournir un éducition aux élèves. La ministre déléguée
chargée de l'enseignement scolaire en France, Ségolène Royal, a approuvé cette décision.
Elle a dit que: « il faut à la fois attraper le retard sur l'éducaion à la sexualité et à la
contraception et inscrire dans une logique éducative en redisant des choses simples: la sexualité précoce n'est pas une couquête féminine, une relation sexuelle repose sur une notion affective, un respect de soi et de l'autre ».
Elle espère que l'usage de la pilule va réduire les 10 000 grossesses non désirées des
adolescentes chaque année .

A l'opposé des sentiments de Royal, l'association des Familles rurales pensent que sa
décision « masque des risques importants: elle oublie une nouvelle fois le rôle des
parents dans leur mission d'éducation; elle néglige le rôle médiateur des professionnels
de santé, dont le médecin de famille, pour encore alourdir la responsabilité des
infirmières ». Le premier souci des familles est que la pilule va devenir la fin de la
sainteté du mariage et une vie sexuelle. Le débat va continuer longtemps.